Le promoteur du projet s'est livré à une recherche de résultats de machines, anciennes et récentes, puis à des séquences expérimentales à l'aide de soufflantes aérodynamiques (3).
L'exploitation des relevés lui a fait entrevoir que l'Énergie potentielle du vent n'était pas proportionnelle au CUBE, comme il est encore admis et enseigné, mais, seulement au CARRÉ de sa vitesse de déplacement.
Il lui a fallu constater, par ailleurs, que certaines éoliennes avaient développé plus de puissance brute (puissance disponible + perte de transmission), avec hélices de basses vitesses de vent, que la théorie officielle n'en permettait en potentialité.
Ayant, de plus, observé que la consommation nette d'un groupe propulseur était exactement fonction du carré du flux produit, il était donc logique et rationnel de penser que le vent lui même ne pouvait contenir d'avantage d'énergie que celle qui aurait permis de le créer, ni posséder une évolution différente.
Les travaux de recherche qui ont suivi lui ont permis de vérifier et confirmer que l'Énergie Potentielle du vent (ou d'un flux) ne pouvait effectivement être que proportionnelle au CARRÉ de sa vitesse de déplacement, non au CUBE.
- (3) Soufflante axiale de laboratoire, sans retour de flux + soufflante d'étude de profils, avec retour de flux.